Les Dolines
Tourisme Haut-Doubs
En région nature, mariage du sport et de la culture – Une multitude d’activités pour petits et grands
RANDOS
Nous vous proposons de très belles ballades, et grâce à Visorando vous ne pouvez pas vous perdre:
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SKI DE FOND
RAQUETTES
CULTURE
Allez découvrir l’histoire de notre région en visitant Le Chateau de Joux, La maison de la réserve ou encore le Fort Saint Antoine
VTT
En dehors des périodes de neige toutes les pistes utilisées pour le ski nordique et les chemins forestiers sont idéals pour de magnifiques randonnées VTT au cœur du Haut-Doubs
GASTRONOMIE
Bienvenue chez nous !
Dégustez, vous êtes en Franche-Comté !
Le Comté
Le Comté ne doit pas au hasard sa renommée, et peut s’enorgueillir de compter au Panthéon des fromages français. Telle qu’elle est contée, son origine remonterait au treizième siècle, mais il est encore fabriqué aujourd’hui dans environ 150 « fruitières » (copératives de production).
Il compte parmi les fromages produits sous la forme de meules imposantes. La sienne, qui peut peser plus de quarante kilogrammes, revêt une couleur dorée légèrement brunâtre.
La pâte souple et solidaire que renferment ces vastes meules se déguste à divers âges. Après un long affinage, des petits cristaux blancs commencent à apparaître dans la pâte, dont le goût fruité se fait plus affirmé.
Le mont d’or
La plus ancienne mention de ce type de fromage remonte à 1280, et concerne les fromages savoyards.
Peu d’écrits permettent de connaître l’origine de ce vacherin. Il existe une lettre d’Eugène Droz adressée à Antoine Parmentier datant de 1799 sur lequel il fait état du « fromage de boëtte ». À la fin du 18ème siècle, ce fromage était inscrit dans l’inventaire départemental des activités fromagères.
À l’origine, les vaches redescendaient dans les étables passer l’hiver et la production de lait devenant moindre, il n’était donc plus possible de fabriquer de grosses meules de comté particulièrement gourmandes en lait, on produisait alors le vacherin.
Il faut sept litres de lait pour fabriquer un kilogramme de fromage.
Ce fromage à pâte molle est très coulant, surtout en fin d’affinage. C’est pourquoi on le ceinture traditionnellement d’une écorce d’épicéa fabriquée artisanalement par quelques sangliers. Il est également emballé dans une boite en épicéa.
La sangle et la boîte font partie intégrante des conditions de production de l’appellation. Il est de forme cylindrique plat et pèse, boîte comprise, 480 g. Son diamètre est de 11 cm et sa hauteur est comprise entre 6 et 7 cm.
Le Morbier
Originaire de l’arc jurassien, le Morbier est un fromage de vache en forme de cylindre plat. Il tire son nom d’un village du Jura.
Il se distingue par la raie noire centrale qui le parcourt sur toute la tranche, séparant en deux une pâte onctueuse de couleur ivoire à jaune pâle.
Son goût est plutôt discret lorsque le fromage est consommé jeune. Il s’enrichit avec l’âge, pour atteindre un mélange franc, mais équilibré, d’arômes végétaux et de parfums de cave.
La saucisse de Morteau
Les origines de la saucisse de Morteau remontent au xvie siècle, époque à laquelle les paysans, appelés Montagnons, partent à la conquête des plateaux et des montagnes du massif du Jura, dans le Haut-Doubs.
Ils tirent parti de la nature qui les entoure pour développer un art de vivre spécifique. Avec le bois des sapins et des épicéas provenant des forêts qu’ils défrichent, ils se logent, se chauffent, façonnent meubles et outils…
C’est ainsi qu’ils construisent des fermes à tuyé (ou thué ou tué), des maisons massives abritant en leur cœur une immense hotte pyramidale dont le principal usage est le fumage des viandes. C’est dans cet environnement que s’élabore la recette de la saucisse de Morteau.
La Cancoilotte
La cancoillotte est un fromage à pâte fondue principalement fabriqué en Franche-Comté. Elle est obtenue à partir d’un mélange de metton (lait écrémé caillé) et d’eau, additionné de beurre en fin de préparation.
Ce fromage typique de la cuisine franc-comtoise est un fromage (hors produit industriel) maigre, dont le taux de 8 à 12 % de matière grasse vient du beurre ajouté lors de la fonte.
Durant la Seconde Guerre mondiale, la vente du metton était libre en France, puisque ne comptant pas de matière grasse, alors que tous les autres produits gras étaient soumis au rationnement.